La météo en Guyane
Généralités
La Saison sèche
De mi-août à mi-novembre : la ZIC est rejetée au Nord. Régime d’alizés de Sud-Est.
La petite Saison des pluies
De mi-novembre à mi-février : la ZIC se déplace vers le Sud et s’étend au dessus de la Guyane. Le régime d’alizés passe au Nord-Est, précipitations importantes.
Le petit été de Mars
De mi-février à mi-avril : la ZIC atteint sa position extrême au Sud, le climat est ensoleillé et humide (précipitations nocturnes fréquentes). Régime d’alizés de Nord-Est.
La saison des pluies
De mi-avril à mi-août : la ZIC entame sa lente remontée vers le Nord, fortes précipitations en Mai et Juin. Le régime d’alizés passe lentement au Sud-Est.
Ce découpage constitue -bien entendu- des généralités, et l’on a déjà vu des mois de Mai ensoleillés et propices à la pratique de notre sport favori.
Nos conseils
Selon nous, les mois les plus favorables pour ne venir que voler en Guyane sont les mois de Juillet à Octobre. On y rencontrera des vents réguliers de Sud-Est, peu -voire très peu- de précipitations et une température permettant de voler toute la journée en Tee-Shirt (pour les costauds, en tout cas…). Toutefois, le vent peut être parfois assez fort (>30 km/h), et l’on préfèrera alors souvent une voile rapide.
Pour ceux qui ne sont pas des inconditionnels du Vol Libre (mais qui veulent voler quand même) la saison du Carnaval est à conseiller. Du dimanche de l’Épiphanie jusqu’au mercredi des Cendres (calculez, ça fait quelques semaines quand même !!!), l’ambiance y est très festive, voire très chaude… Et au moins, si « ça » ne vole pas pendant le petit été de Mars, on saura se consoler dans les très nombreuses fêtes et activités carnavalesques qui figent la Guyane à cette période.
Quant à nous, nous volons toute l’année. Plusieurs fois par semaine en saison sèche; et même en saison humide, il est rare de voir passer trois semaines sans qu’une occasion de voler se présente. Les conditions sont généralement très bonnes (alizés de 10 à 20 km/h), et les vols durent bien souvent toute l’après-midi (entre-coupés d’atterros au décollage). Ainsi, nous estimons pouvoir voler entre 50 et 100 heures par an, selon nos disponibilités.